In girum imus nocte et consumimur igni

 

       

     

      La race est la plus tangible, réelle, brutale des réalités ! Extrait de La critique situationniste du capitalisme Il ne s’agit pas d’être ou de ne pas être raciste, mais de comprendre le rôle nouveau que cette réalité brutale, que cette réalité bestiale va jouer. Les véritables races ne sont que des mises au monde, des "apparaître" historiques. la filiation d'ordre biologique, restait relativement secondaire La race n’a jamais été une donnée effective de l’histoire comme l’est la classe sociale, la lutte des classe, est pourtant devenue une réalité nouvelle, inédite : une émergence, la guerre des classes se complique du chaos racial, ces deux questions sont désormais inextricablement imbriquées, et exacerbées l’une par l’autre. Désormais, étroitement liées entre elles, sont la question sociale et la question raciale. La lutte des races est une nouveauté, issue d’une régression. C’est la première fois que “l’humanité” y est confrontée à cette échelle, mais nous y sommes confrontés. Sa réalité est là, la plus brutale, la plus bestiale dans l’Europe, et se voit d’abord comme une effroyable agression contre l’être, la conscience de soi des européens que l’on est bien obligé de nommer les Blancs. . Rappel : ce sont les adjuivants qui furent l’adjuvant nécessaire de l’installation du Racisme par le Capital Viens au secours O Racisme ! SOS racisme bien aimé. Soit la volonté de puissance immigrée, déchaînée contre le peuple devenu sous-chien Si on ouvre au scalpel, cette infâme charogne artificiellement créee, on y voit s’agiter au centre l’asticot du racialisme, les Raceux, Ceux de la Race qui qui qui aidèrent à la volonté de puissance immigrée. « le racisme » en tant que comportement se distingue d’abord par l'échelle dans laquelle il se pose. Au niveau empirique, dans l’entendement quotidien on distingue un racisme spontané, inné, phobique, xénophobe donc, souvent le fait des éléments les moins évolués ou civilisés. Sa négation est …..., qui transcende les différences ethniques qui ne sont plus perçues que comme des originalités, Il est bien évident que la valeur singulière d’un homme ne réfère pas immédiatement à sa race. Qu’être humain transcende être blanc ou jaune dans / Je suis moi même comme cela, ai je besoin de le dire Il n’y a que Deux grandeurs possibles où une Universalité pourraient s’incarner. Dans la République des lettres, et à venir, dans l’hypoyhétique république universelle des conseils ouvriers. Mais l’une n’existe plus et l’autre est passé dans le mythe. Ce n’est que par une longue imprégnation des esprits mis à tremper dans le sot monothéisme que s’est dissous le sentiment identitaire. Le capital est un processus objectif indépendant de la volonté des hommes. Il est le Moloch qui exige la massification qui s’appuie préférentiellement sur une massa perditionis, quand il ne la crée pas de toute pièce. Oui le "racisme" dans son sens courant, moral et psychologique m'est étranger, non que je veuille me poser au bien-pensant tout à fait fréquentable, mais parce je récuse ce pseudo-concept. C'est une pauvre abstraction, destinée à pallier un déficit d'intelligence et la lâcheté intellectuelle. Il est employé en lieu et place de xénophobie, qui signifie l'hostilité aux "étrangers". Il y a des agoraphobies, des claustrophobies pourquoi n'y aurait il pas des xénophobies ? D'ailleurs nous en sommes tous un petit peu atteint, à des degrés divers. Seulement, chez certains, cela prend des proportions morbides. La plupart des gens supportent assez bien de rester enfermés dans une chambre ou de prendre l'ascenseur. Mais en chacun de nous, quelque chose frémit à la pensée d'être mis en bière, encore vif. Idem pour la xeno phobie. Le drame, et d’abord la comédie, commence quand cette conscience quotidienne se trouve transportée dans la vision globale, objective, à l’échelle politique. Lorsque Shimone qui est au panthéon a harcelé Giscard pour le regroupement familial, au nom de l’humanité, elle passait mine de rien dans une tout autre échelle, dans un tout autre système de coordonnés, où les règles du jeu, les lois objectives sont d’une autre nature Les identitaires tatoués que je ne connais pas ; mais qui provoquent l’ire ne sont pas primitivement des racistes ils réagissent à leur manière un peu primitive à l’horreur du Vivre Ensemble. La meilleure critique du « Vivre-ensemble-SOS-Racisme-Berger-UDJF-capitalisme » a été d’affirmer que l’antiracisme idéologique était dans l’effectivité un racisme anti-blanc. Mais cette critique a été portée par l’extrême droite décrétée raciste a priori, donc discrédité Je ne vais pas, je ne cherche pas à la ressusciter ; ou la rajeunir faire de l’atroce racisme anti blanc réel le fondement de ma critique du vivre ensemble. Si nous tournoyons tous ensemble dans les ténèbres, comme des lucioles autour de la lampe, Ce qui fait de moi l’irréductible ennemi de la théorie du Vivre ensemble, ne pourra pas être compris par ceux qui m’écoutent qu’à la condition d’accepter de suivre la voie de la main gauche. On ne saurait dire que s’affrontent deux visions, deux projets, mais deux types humains, vivant ensemble, à la même heure, au même endroit, dans les mêmes conditions sociales, mais se trouvent inexplicablement placés dans des mondes, des univers entièrement différents. Les uns vivent dans le monde patriarcal, où les Arabes et les Nègres rasent les murs, cependant que les femmes y sont asservies. Les autres dans le contraire, absolument. Les uns sentent l’ennemi dans le corps réticent du populaire les autres dans le pouvoir légal. La facticité de leur indignation, les premiers ne la sentent pas car elle est devenue étrangère à elle-même, et les enjeux véritables qui le meuvent lui restent inconnues » Engels Ce sont les autres, nous, qui aurions des « impressions », des préjugés racistes, des passions de haine qui nous aveuglent et diriment leurs consciences. Eux luttent contre le Préjugé quand Voltaire dit simplement dans l’Introduction de l'Essai sur les mœurs et l’esprit des nations : « Il n’est permis qu’à un aveugle de douter que les blancs, les nègres, les albinos, les Hottentots, les Chinois, les Américains, soient des races entièrement différentes. » Il ne dit pas soient des hommes de valeur différente. Il pose le polygénisme au lieu du monogénisme de l’espèce humaine Par l’impératif catégorique, Kant montre combien l’homme doit transcender sa nature bestiale, son égoïsme ; fondement de toutes les crises et de tous les conflits l’impératif catégorique de races aux dispositions différentes sera d ne surtout pas se mélanger C’est la paix qui serait menacée par l’installation de peuples aux dispositions différentes sur un même territoire. l’impératif catégorique de races aux dispositions différentes sera d ne surtout pas se mélanger C’est la paix qui serait menacée par l’installation de peuples aux dispositions différentes sur un même territoire. Pour ce qui est des dispositions de Chances, au vol, au couteau le fondamentalisme religieux, on voit par ces exemples de qutre philosophes qui ont pensé cette question d’une manière purement spéculative, en ont tiré une conclusion contraire à ce que dit le promoteur du grand touillage racial Ce sont de très grands philosophes, Rousseau, Kant le fondateur du criticisme et Feuerbach, l’extrême gauche matérialiste hégélienne qui ont pensé ctte question par la raison pure et l’ Aufklarung je les ai choisi plutôt que Alfred Rosenberg ou le compte de Gobineau, pour bien prouver que le contraire du Vibre ensemble à l’échelle de peuples tout entier, n’est pas le racialisme ! Comprendre l’époque, c’est surtout en comprendre le sens. Ce vivre ensemble devrait se nommer en vérité Pourrissement du vivre En europe l’immigration dans son immanence nous atteint d’abord dans le principe même de notre pulsion de vie. C’est une agression totale. Elle fait de nous des déracinés sur leur propre sol, des exilés dans leur pays, étrangers dans leur patrie. Et ne pas comprendre que l’essence de la volonté immigrationniste a éte de noyer la conscience radicale du prolétariat dans les eaux grasses de l’arriération, c’est n’avoir rien saisi de cette question. les Conservano et ses camarades, malgré leurs travers et leurs errements, ne sont pas devenues cd qu’il sont par sup blanc a priori. Ils sont né et ont grandi dans la prison raciale qui qui qui les oppresse, et ont répondu à leur manière primaire par auto défense, comme dans les geôles yankee, la fraternité Aryenne face à la terreur raciste Noire Demandez à Ryssen ou aux mânes d’Yvan Colonna, s’il n’y a pas de suprémacisme Noir dans les maçonneries carcérales de la république. Prise dans sa compréhension générique, l'immigration est le résultat de la lutte des classes. Mais nullement une victoire de classe des travailleurs, mais sa catastrophique défaite, qui par son ampleur équivaut aux Ce qui forme le poids de l’immigration telle que se produit ce n’est nullement la masse machinalement poussée par le poids de sa misère, mais l’artifice. L'immigration/invasion en Europe est une "présence au monde" que l'explication par la causalité historique, ou la généalogie, n’épuise pas, que seule son existence actuelle fonde. Elle est advenue. Un fait injustifiable sinon par un Artifice, une astuce de l'Oligarchie, dont la raison d'être fut de perpétuer son parasitisme en noyant la classe des prolétaires sous un flot de prolifiques. Nous avons réglé son compte à l’idée que Sup White NS allemand, ainsi que les Conservano et consort soeint d’abo Il le sont dvenus, prière de les comprendre ! Et s’ils se fourvoeint c’est faute de lucidité startégique. Ils devraient comprendre que la plus grande objection que l’on pourrait leur faire c’est qu’ils ne soient pas des millions ! Car la Déesse s’est empressé d’instruire sur l’abjection de de l’immigration, furent autant de leçons de chose pour INSTRUIRE les peuples européens. Et qu’ils ne fussent pas des millions cette objection devrait les instruire, suffisamment sur la déchéance des blancs entre guillemets