parenthèse
La valeur d’une pensée politique se jauge à sa capacité prédictive. Le propre des penseurs de qualité est J’avais noté pendant les deux années confinées que la plupart des zintellectuels dissidents n’ont eu de cesse de faire remarquer avec beaucoup d’humilité que toute cette sinistre comédie, les couvre-feux, les arrêts domiciliaires, les baillons obligatoires, les ausweis, les injections génétiques, les camps de rétention etc., tout ça ils l’avaient prévu. « Comme je l’ai écrit dans mon dernier livre », « Comme je le répète sur mon blog depuis plus d’une décennie », « pour en comprendre la chronologie je renvoie à mon livre... », « j’ai depuis longtemps démontré que » etc .
Bien sûr, je
ne porte pas un jugement moral, ni psychologique, je ne porte pas de
jugement du tout ! Je suis tout aussi égotiste, narcissique,
que les autres !
Ce qui m’apparut : une véritable pandémie d’autohypnose.
Le sujet pensant s’est persuadé que la prévision de la comédie
dramatique actuelle était contenue dans ses écrits antérieurs. Ce
gonflement est un effet secondaire de la stupéfaction.
Quand
ils en sont revenus ils s’écrient je le savais ! Je l’avais bien
dit ! Et ils entreprennent la noble tâche d’expliquer aux autres
ce qu’ils n’ont pas su voir venir. Pourtant je n’écrirai pas
ça s’il n’y avait au fond une vérité. Cela ressortit aux
fameuses « raisons séminales » de Saint Augustin. Toutes les
formes à venir sont préfigurées dans les semences existantes.
C’est l’alpha de la pensée théologique. Rien de neuf ne saurait
apparaître dans le monde crée par Dieu. Donc, la tyrannie sanitaire
est contenue nécessairement dans toutes les tyrannies, qui sont
elles même un émiettement le l’Idée de tyrannie. Au fond Covid
n’a fait que les révéler, eux, les Penseurs, en révélant sous
un jour nouveau ce qui devait exister en latence, ce qui était
naturellement implicite dans leurs œuvres.
C’est comme moi qui aie dit que "Micron était
un Virus sorti des charniers du Bataclan", en 2017, je prétendais avoir vu la tyrannie pharmacienne à l’œuvre dans une boule de
cristal. Hé non !J’écrivais cela pour opposer une généalogie
sous jacente à la causalité électorale. Pour montrer une pierre
d’Onyx au fond de la verroterie politicarde. Relier le Trader à
Pinochet, et son pouvoir à l’État d’Urgence et à la tuerie
étatique. C’est l’Esprit qui fit le reste, et pas le mien !
Il faut croire que le fait de n’avoir rien vu venir doive se
compenser chez les Penseurs par la certitude intérieure : Ah,
je m’en doutais ! Il est vrai que le réel anéanti brutalement,
encore une fois, sans le moindre égard, les illusions des
consciences particulières qui clopinent à sa traîne sur leurs
escarpins en jacassant sur les boutiques du chemin. C’est pour cela
que ça pense dur, en ce moment, ou plutôt mou, si l’on place
l’activité du mental parmi les excréments de la culture. La tâche
consiste à lier le premier principe, la cause unique, la cause
efficiente, à tout ce qui arrive et qu’on n’avait pas prévu
phénoménalement, puisqu’on l’avait prédit nouménalement.
Comme le diable par exemple, dans la vision théologique qui est la
causalité diabolique. sont reliés à toutes sortes de choses, le suprémacisme blanc,
le sionisme, le bolchevisme 2.0, le globalisme, l’intelligence
factice, le transhumanisme, etc, à tout, sauf aux multinationales
pharmaceutiques. Bien sûr elles sont nommées sous le quolibet de
Big Pharma comme on dit Big Brother, pour bien souligner sa
malveillance et sa malfaisance. Mais Big Pharam c’est aussi le nom
générique de Sanofi, Roche, Moderna, Pfizer, Johnson & Johnson
pour ne citer que les plus gros qui forment ce Monopole qu’on nomme
Big pharma. La décision des conseils d’administration de ces puissants
laboratoires n’interviennent qu’après les Bilans comptables. Ce
qui Veut, cela qui décide vraiment, c’est le Capital. Aveugle il
n’obéit qu’à la nécessité de sa reproduction, son Indice de
croissance. Il dicte sa Volonté aux conseils d’administration qui
dictent la leur aux gouvernements qui imposent leurs lois aux
populaces crédules. l’industrie pharmaceutique peut quasiment
à elle seule décider des politiques de santé des gouvernements
orienter la recherche, les financements et les remboursements
publics. Ces grands laboratoires produisent la majorité des
médicaments/marchandises qui sont comme presque tous, comme les
antidépresseurs par exemple, addictifs et hyper dangereux. Si le Big
Pharma suit une autre voie, il sombre. Et quand il s’agit d’un
tel Monopole se pose la déstabilisation du système mondial, car Big
Pharma est un pilier fondamental de la métamorphose dernière du
Grand capital. Personne ne lui résiste ni La Chine ni Poutine ni
l'Amour càd le Dieu d'Hamûr et son Représentant. D'un point de vue théorique la seule réponse réaliste,
l’exigence globale a minima, ne sera jamais posée :
l’expropriation sans indemnité ni rachat des grands groupes
pharmaceutiques. C’est presque une vulgarité, un simplisme, une
impiété, un relent de bolchevisme mal digéré. On est plus
intelligents, beaucoup plus savants que ça. On connaît les réseaux,
les qui couche avec qui. La conscience politique est tellement
perdue, qu’on ne sait plus ce qu’est la nécessité de la
théorie. C’est le cadre hors lequel toute recherche est vaine. La
seule appréhension raisonnable de la réalité doit se faire d’abord
par la théorie. Tout ce que le marxisme révolutionnaire contenait
de philosophie, d’eschatologie s’est révélé faux. Le Réel a
anéanti encore une fois l’espérance, la parousie, l’Idéal sans
égard pour les idées brillantes des intellectuels. Mais Marx a commis la seule physique de cet univers matériel et
moral. Ne pas vouloir se laisser injecter le poison est bien. Mais
comment arracher un jour leur toute puissance à ceux qui parlent en
maîtres, sans leur reprendre ? Il nous est encore permis de
débiter des tartines sur les rézo socio et même un peu de
processionner certains jours du sabbat. Nous sommes là, encore un
peu peinards, suffocant sous le masque dans les magasins, et dans les
gares entourés d’hommes en armes et de femmes à famas, qui n’ont
pas encore reçu l’ordre de nous traîner à la piqûre génétique
à effet retard. La dégradation infâme à libération lente. On ne
peut plus pénétrer dans un rade ou s’envoler vers les soleils de
pâques, mais qu’est ce que ça fout, tout est bien, on peut encore
promener le chien. Et puis on va pouvoir voter comme en Amérique !
Une période électorale est toujours un summum de crétinisme, une
extinction généralisée de l’intelligence, même les meilleurs
n’en sont pas exemptés. Universelle est l’arnaque
colo-électorale, le passage dans l’Isoloir, comme dans une IRM
pour découvrir trois ans après qu’on a attrapé une saloperie de
macrobe. – N’est il pas curieux, mon Fils, qu’avant
d’entrer franchement dans l’Enfer il faille en passer par le
purgatoire de la saison électorale, peut être est-ce miséricorde divine
pour graduer les effets, préparer les âmes ? – Il n’y a pas de
miséricorde divine, monsieur l'abbé, il n’y a plus rien. Il n’y a rien
au fond de ce monde grotesque. Ni derrière, ni en avant. Il n’a
pas de sens.
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